Les paysages de notre enfance... Florilège
Je vis alors un lac d'une teinte d'une teinte bleu foncé, un peu grisée par le reflet du ciel nuageux. Il était comme bloqué entre le petit plateau et une pente raide et dure qui menait vers d'autres sommets.
De vastes dunes plantées d'oyats se réfugiaient entre les deux caps,
dunes rayonnantes comme neige au soleil ... Les vagues surgissaient,
puis se décourageaient aussitôt, retournaient dans la profondeur océanique...
La jungle dense formait un labyrinthe vivant : tout bougeait, tout criait, tout remuait. Notre esprit se perdait dans ce labyrinthe végétal : nous étions vidés, et apaisés... La jungle, imposante, on avait l'impression que si elle vous attrapait, elle ne vous lâcherait pas, et vous digérerait lentement. ... Toutes les couleurs du monde étaient rassemblées à un endroit sur terre, et j'y étais !
Je voyais une grande étendue de lumière, semblant un océan sans fin. J'éprouvais du bonheur, je ne sais exactement pourquoi...
Allan, Mattéo, Renaud, Gauthier, Audrey, Eddy, Julien, Chloé et Lucile
Je me sentais comme un peu engourdi par ce brouillard qui dévorait le paysage...
Je vis alors un lac d'une teinte d'une teinte bleu foncé, un peu grisée par le reflet du ciel nuageux. Il était comme bloqué entre le petit plateau et une pente raide et dure qui menait vers d'autres sommets.
Là, une mer translucide à la fois turquoise et d'un bleu profond nous attend,
encerclée de rochers blancs...
De vastes dunes plantées d'oyats se réfugiaient entre les deux caps,
dunes rayonnantes comme neige au soleil ... Les vagues surgissaient,
puis se décourageaient aussitôt, retournaient dans la profondeur océanique...
Nous enfoncions petit à petit dans ces cicatrices africaines qui semblaient pleurer la pauvreté du Zimbabwe...
Je me souviens encore du plaisir éprouvé sous les caresses du vent
dans mes cheveux et sur mes bras nus,
du martellement incessant de l'eau qui retentissait comme
des milliers de mains sur des djembés, coupant toute possibilité de conversation...
Je me souviens encore du plaisir éprouvé sous les caresses du vent
dans mes cheveux et sur mes bras nus,
du martellement incessant de l'eau qui retentissait comme
des milliers de mains sur des djembés, coupant toute possibilité de conversation...
Me sentant dans le bonheur, j'ai marché pour mon bien...
Je voyais une grande étendue de lumière, semblant un océan sans fin. J'éprouvais du bonheur, je ne sais exactement pourquoi...
Pour moi, les vacances, c'était d'aller dans cette maison, car j'avais la sensation d'être vraiment chez moi. Je me sentais en sécurité loin de la ville, du bruit et de la foule.
Allan, Mattéo, Renaud, Gauthier, Audrey, Eddy, Julien, Chloé et Lucile